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Aujourd’hui, dans le monde du développement logiciel, on voit émerger deux approches qui transforment la façon de bâtir des solutions : le no code et le low code. Ces méthodes permettent de créer des applications sans avoir à rédiger du codage traditionnel, ou en rédigeant très peu de ligne de code. Des éditeurs majeurs, comme SAP, investissent déjà dans ces innovations pour automatiser divers projets, du site web à la supply chain, tout en favorisant une réduction des coûts. Dans cet article, nous allons expliquer quelles sont les différences entre ces approches, présenter les 8 critères pour les comparer, et découvrir comment elles s’inscrivent dans l’avenir du développement. Vous apprendrez également comment choisir entre ces options selon vos besoins, et vous découvrirez des astuces pour en tirer le meilleur parti, que vous soyez débutant ou développeur expérimenté.
Qu'est ce que le No Code et le Low Code ?
No-Code
La notion de no-code se définit comme une manière de développer un site web ou une application without having to write code au sens strict. Concrètement, l’utilisateur manipule des outils graphiques (souvent proposés par des plateformes de développement) pour assembler des modules et des composants préfabriqués.
- No code permet de construire des projets sans avoir à écrire de scripts complexes, grâce à des techniques de glisser-déposer.
- Cette méthode vise un public varié, y compris les utilisateurs peu familiers avec le codage, qui souhaitent malgré tout permet de créer des outils pour répondre à des défis précis.
Le développement no code cible fréquemment la génération d’applications sans programmation « classique » et facilite la mise en place rapide de prototypes. On y retrouve souvent un concept de plateforme permettant de concevoir et de lancer des solutions internes ou externes en un temps record.
Low-Code
Le low-code (ou low code) s’adresse davantage aux équipes techniques qui maîtrisent un minimum la conception et de développement d'applications. L’objectif est de réduire le recours au code ligne par ligne en fournissant des blocs pré-construits. Cependant, on conserve la possibilité de personnaliser certaines parties pour mieux coller aux besoins.
- Low-code offre un compromis : on peut modifier certaines logiques ou les personnaliser plus finement en écrivant du code.
- Cette approche s’avère utile pour des projets un peu plus complexes, tout en maintenant une rapidité de déploiement appréciable.
En somme, low-code vs no-code forment un continuum. Entre no code et low code, la différence principale réside dans la faculté à injecter, ou non, du code afin d’exploiter pleinement un environnement plus technique.
Quelle Différence entre No Code et Low Code ?
Quelles sont les différences entre ces deux approches ?
Dans le débat no code et low code, on retrouve souvent la question : quelle différence entre ces solutions ? Voici quelques points essentiels pour vous aider à y voir clair :
- Cible principale
- No-code : S’adresse aux novices ou aux métiers, sans besoin d’avoir à écrire de code.
- Low-code : Vise davantage les spécialistes, dont certains développeurs, qui désirent une personnalisation accrue.
- Niveau de flexibilité
- No-code : Excellent pour des applications simples et la validation d’idées.
- Low-code : Idéal pour des solutions un peu plus sophistiquées, requérant des ajustements précis.
- Coût et maintenance
- No-code : Abordable dans bien des cas, mais peut devenir cher si la plateforme est propriétaire.
- Low-code : Souvent plus onéreux en formation initiale, mais s’intègre plus facilement aux systèmes existants (comme la supply chain).
Dans tous les cas, on constate un développement plus rapide, comparé à l’approche « pro-code », où l’on écrit chaque instruction. D’ailleurs, le débat pro-code vs no code ou low code reste d’actualité, notamment pour déterminer la portée et la complexité du projet.
Le Code Peut Toujours Intervenir
Même si l’on mise sur du no-code, il n’est pas impossible d’inclure quelques lignes ponctuelles (appelons-le code peut se glisser par endroits) via des scripts optionnels, selon la plateforme choisie. Cela s’explique par la volonté d’adapter finement certaines fonctionnalités ou de se connecter à des solutions tierces.
Dans le cas du low-code, cette marge de manœuvre est plus large. On peut créer des modules spécifiques ou interfacer des services divers pour répondre à des besoins complexes, par exemple une gestion avancée de la supply chain.
Pro-Code vs Low-Code vs No-Code
Les 8 Filtres d’Évaluation
Pour aider les entreprises à trancher entre no code et low code (ou même le développement « classique »), voici les 8 grands axes :
- Complexité fonctionnelle : Plus le projet est sophistiqué, plus une personnalisation de codage peut être nécessaire.
- Vitesse de réalisation : Les solutions sans script ou à script léger raccourcissent les délais.
- Coûts initiaux : Le no-code est compétitif, mais il faut vérifier les frais mensuels.
- Évolutivité : Le low-code s’adapte mieux aux grands projets, tandis que le pro-code reste l’option ultime pour les structures colossales.
- Accessibilité métier : Avec le no-code, les utilisateurs peuvent construire eux-mêmes des prototypes.
- Ressources IT : Le pro-code vs no-code nécessite davantage de spécialistes et de temps, alors que le low code allège ces besoins.
- Maintenance : Un programme no code dépend souvent d’une interface propriétaire, tandis que le pro-code peut exiger plus d’efforts en interne.
- Intégration : En low-code, vous pouvez rattacher plus facilement des API ou des bases existantes.
Les Développeurs et Les Entreprises Peuvent Bénéficier des Trois
Même les développeurs confirmés recourent parfois à des solutions simplifiées pour gagner du temps. Les grandes structures ou les professionnels de l'IT s’orientent souvent vers le low-code pour orchestrer un workflow plus complexe ou un pilotage BPM (bpm), tandis que le no-code sera privilégié par les équipes métiers. Les grandes compagnies comme sap proposent déjà ce type de plateforme pour automatiser certains éléments de leur écosystème.
Comment Choisir Entre No Code et Low Code ?
Quelques Questions Clés
Pour comment choisir entre ces approches, considérez :
- Taille et ambition du projet : Créez-vous un simple formulaire ou une grosse appli de supply management ?
- Budget : Avez-vous prévu des frais de licence ou souhaitez-vous limiter les investissements ?
- Expertise interne : Avez-vous des gens capables de faire un peu de codage ?
- Ouverture future : Allez-vous étendre la solution à d’autres branches ou pays ?
Selon l’étendue de vos ambitions, vous pourriez démarrer en no-code puis migrer en low-code pour plus de souplesse, ou encore rester sur un mode hybride. De la même façon, certains privilégient l’« approche de développement logiciel » traditionnelle pour assurer un contrôle maximal, malgré la lourdeur associée.
Plateforme de Développement Low Code et No Code
Les plateformes de développement low-code offrent aujourd’hui de plus en plus de fonctionnalités. Elles incluent souvent l’automatic code generation, ce qui évite aux experts d’écrire la moindre ligne sur toute la partie standard. Elles permettent aussi de gérer un workflow complet et de mettre en place des connecteurs entre divers modules.
Dans la sphère no code, des éditeurs proposent aussi de créer des sites web ou des applis internes de façon quasi instantanée. Au fur et à mesure, il reste possible de passer la main à un programmeur, histoire de peaufiner certains détails ou d’ajouter des intégrations.
Outils No Code et Low : Les Meilleurs Outils en Vue
Aperçu des Plateformes de Développement
Il existe de nombreux outils destinés aux équipes métiers et techniques qui veulent un développement plus accessible. Parmi les noms les plus courants, on retrouve les fameuses plateformes low code comme Mendix, OutSystems, ou Microsoft Power Apps. On parle souvent de les plateformes montantes dans ce secteur, un domaine étudié par gartner et la harvard business review.
Certaines solutions se distinguent comme les meilleurs outils (du point de vue ergonomie et richesses d’options), alors que d’autres misent davantage sur la simplicité pour un usage exclusivement métier. On y voit le concept de « plateforme de développement low code » généralisée, où l’on installe un environnement de développement est simplifié, tout en laissant la porte ouverte à l’écriture de scripts spécifiques.
Outils No Code Open Source
Pour les amateurs de liberté, il existe des outils no code open source permettant un contrôle approfondi. Ici, on peut naviguer dans le code généré, et même le modifier si l’on a besoin d’une fonctionnalité exotique. Cette flexibilité favorise aussi l’adoption par les organisations soucieuses de maîtriser toute la chaîne de production.
- Certains outils open source incluent des éditeurs visuels, des connecteurs de base de données et divers widgets prêts à l’emploi.
- Vous conservez la possibilité d’héberger vous-même la solution, ce qui peut être capital pour des entreprises gérant des données sensibles.
Conseils Pratiques pour Vous Aider
Recommandations Clés
Si vous voulez créer des applications ou un site web via ces nouvelles méthodes, pensez à :
- Évaluer vos besoins : Voulez-vous juste assembler une preuve de concept ou bâtir une appli stratégique ?
- Commencer petit : Testez un prototype no code pour valider l’idée, avant d’éventuellement migrer vers une approche plus élaborée.
- Former vos équipes : Même si vous n’avez pas besoin d’aucune connaissance en développement, un minimum de familiarisation reste essentiel pour exploiter la plateforme efficacement.
- Vérifier l’intégration : Assurez-vous que votre outil se connecte bien à la base de données, ou à d’autres services comme la supply chain ou la comptabilité.
- Suivre la maintenance : Gardez un œil sur les mises à jour et le support proposé par la plateforme, surtout si c’est une solution open source.
Tableau de Synthèse
Cette comparaison vous aidera à mieux cerner quelle approche choisir selon votre profil et vos contraintes.
Conclusion
En définitive, ces solutions représentent un moyen de concevoir des systèmes opérationnels et innovants en un temps record, tout en laissant la place à l’expertise des spécialistes quand la personnalisation devient nécessaire. Sentez-vous libre d’explorer ces méthodologies pour développement web, d’essayer des outils de développement variés et de comparer leurs offres. Vous verrez que le monde du développement d'applications basée sur le no-code et le low-code est aussi vaste qu’enthousiasmant. Si cet article vous a inspiré, n’hésitez pas à le partager pour guider d’autres personnes vers la même démarche.
